L'histoire d'un quartier naguère populeux et laborieux, aujourd'hui très calme bien que tout proche du centre-ville mais en marge des embarras de la circulation... Suivez-nous.
e début d’année 2022 est placé, semble-t-il, sous le signe de la contradiction. D’une part, nous devons veiller au maintien de la démocratie que certains n’ont de cesse de fragiliser tant au niveau international qu’à l’intérieur de nos frontières. D’autre part, la décrue de la pandémie nous ouvre des perspectives d’un retour à une vie moins contraignante. Parmi les activités les plus touchées, le cinéma figure malheureusement en bonne place. Le virus a paralysé le 7e Art dans son ensemble et privé tous les cinéphiles de leur passe-temps favori. Durant de longs mois, nous n’avons pu fréquenter les salles obscures, mettant à mal ce secteur économique. La réouverture sans contrainte des cinémas nous est apparue comme le meilleur moment pour vous faire découvrir, ou redécouvrir, les salles mancelles qui, du Pathé place de la République, ouvert en 1908, au dernier-né, en 2014, le nouveau Pathé place des Jacobins ont fait les beaux jours du grand écran. D’une durée de vie de quelques jours pour le Cinéma des Familles ou de 71 ans pour le Pathé République, ce sont plusieurs générations de Manceaux qui les ont fréquentés. De Pontlieue au centre-ville, on en trouvait pour tous les goûts, pour les cinéphiles dans l’âme ou les spectateurs recherchant seulement une détente après une semaine de travail. La télévision sonna le glas de ces salles bien sympathiques. S’il occupe une place importante dans ce numéro, le cinéma n’est pas l’unique sujet abordé, tant s’en faut. Personnages connus ou à découvrir, sites chargés d’histoire, techniques mises au point dans notre département sont également au sommaire. Nous espérons que vous apprécierez cette nouvelle publication et qu’elle vous donnera l’envie d’en parler autour de vous ; votre magazine ne vit que grâce à ses lecteurs et à ses annonceurs.
Jean-Pierre GUYARD Président et directeur de publication
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Aperçu de 15 pages du n°473
Le sommaire à la loupe
LE SOMMAIRE A LA LOUPE
92 réponse(s) trouvée(s) pour le numéro 473
Joseph Dariot fondateur de soupes économiques : ou soupes populaires ou e l´escalier des Boucheries à la tour Vineuse Un petit coin du Vieux Mans Auteur(s) : Barré Dominique Genre/Thème : Personnages
(Art. 19271)
Marcel Quinton Baryton des Quatre Barbus : manufacture de chaussures 3, rue Barbier et tenue par la famille Crochard depuis 1864 puis en 1920 par Romain Quinton Auteur(s) : Ligné André Genre/Thème : Personnage-Musique
(Art. 19274)
Les salles de cinéma au Mans 120 ans d´histoire : La salle des Concerts, première projection cinématographique, Le Pathé, l´Apollo, l´Alhambra, l´Éden-Cinéma, Pierre Pont et Louis Béalay, Pâtis, de Michel Serceau, 38 rue d´Eichthal, Le Français, puis l´ABC, Les cinémas de quartier l´Oasis, le Royal, le Ciné-Poche, les Ambassades, les Cinéastes ,,,, Auteur(s) : Noiseau Roger Genre/Thème : société
(Art. 19276)
Entre le parcours de vie chaotique et malgré tout plein d´optimisme d´Angelina Bardin, une enfant abandonnée et romancière à succès. Et le trop méconnu musée Joseph Huter, le musée des sapeurs-pompiers du Mans. Parcourons cette semaine deux nouveaux articles tirés du dernier numéro du magazine historique et patrimonial préféré des sarthois, la Vie Mancelle et Sarthoise. Avec Francis Landier et Jacques-Henry Minier,
Trésor de Sarthe : Les cinémas au Mans, 120 d´histoire Avec Francis Landier, Roger Noiseau
e début d’année 2022 est placé, semble-t-il, sous le signe de la contradiction. D’une part, nous devons veiller au maintien de la démocratie que certains n’ont de cesse de fragiliser tant au niveau international qu’à l’intérieur de nos frontières. D’autre part, la décrue de la pandémie nous ouvre des perspectives d’un retour à une vie moins contraignante.
